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TRAGEDIE GRECQUE                                                  

POLITIQUE

      La « tragédie grecque » qui vient de se produire à l’occasion des élections générales est une fois de plus à mettre du côté du théâtre grec plutôt que du côté de la réalité économique. C’est la troisième fois dans leur histoire que les Grecs nous font le coup de faire payer par les autres une gabegie populiste. Comme quoi cela ne tient pas à un parti ou un côté politique : lors des deux coups précédents en effet les gouvernants instigateurs étaient « orientés » autrement. Je ne crois pas non plus que les Grecs soient versés naturellement dans le populisme.

Ce sont en fait des politicards habiles qui à chaque fois ont su embrigader les esprits et précipiter le pays dans une situation de faillite. C’est tellement flippant pour un cerveau tordu de faire croire que les « puissants étrangers » en veulent aux citoyens, de conduire ceux-ci vers une gabegie nationale et de solliciter ensuite la solidarité internationale pour combler le trou financier. Ne nous leurrons pas : quand le coup actuel sera résolu on ne sera pas à l’abri d’une quatrième tentative tant la recette est bonne.

Entre temps c’est vous et moi qui font les frais de la folie de quelques-uns. Car nous paierons, quoiqu’en disent certains. Le monde est sous telle tension aujourd’hui qu’il est impossible de laisser un tel foyer d’instabilité se développer. Qui plus est en plein centre de l’Europe.


Marie-Louise. Chef d’entreprise. Cherbourg.

PRÊTS A GOMMER GAUCHE/DROITE ?                      

COMMENTAIRES


J’ai appris plein de choses. Je suis allée voir sur internet pour vérifier. C’est dingue.

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Ca pourrait très bien se passer chez nous.

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Quand je vois toute cette hypocritie qui entoure les négociations officielles.

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Il n’a pas tenu longtemps le Premier Ministre grec devant la réalité.

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Quand je pense qu’il y a des responsables politiques français qui se servent des Grecs pour leur petit commerce.

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      En politique une question se pose constamment depuis environ quarante ans dans les populations occidentales : peut-on se passer de la ligne ? La ligne c’est cette chose imaginaire sur laquelle ont été dessinés des parties comme gauche, droite, centre, extrême gauche, extrême droite. Sans compter que chacune de ces parties peut être sous-divisée en : plutôt dans un sens ou plutôt dans un autre. Une géométrie totalement insensée mais que ne contestent jamais les politiques en place parce qu’elle justifie leur « positionnement ». Une géométrie imposée donc, que seuls quelques esprits retors pourraient remettre en question. Voyons cela de plus près :

A l’origine la notion de gauche et la notion de droite en politique ont été créées par la position qu’occupaient les députés selon leur appartenance politique dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale à la Révolution. On est donc devant un non-fondement géométrique. Soyons clairs : aujourd’hui ces notions ne veulent plus rien dire. Les peuples et donc les électeurs ne s’y retrouvent plus. Mais les Politiques font tout pour conserver cette ligne sinon ils perdraient leur identité. On ne pourrait plus les identifier parmi les autres.

Vous constaterez d’ailleurs que personne n’a encore franchi le pas en créant un parti ou un mouvement trans-parties remettant en cause la ligne en empruntant aux « philosophies » des parties. Une démarche tout à fait sensée tant elle correspond davantage à notre époque. Une remise en cause qui enverrait valdinguer aux orties un grand nombre de carrières et ferait entrer en politique de nombreux quidams raisonnés pour prendre leurs places. Des places si chaudes…


Jean-Marc. Journalistique politique. Paris.


      Quand on pense « Pensée Unique » on pense souvent en premier lieu à la manipulation de l’opinion par les médias - la presse en particulier - pour aboutir à la fourniture d’une information uniforme, édulcorée et orientée. Et puis très rapidement on pense aussi à la main-mise sur l’information et le savoir, plus généralement, par le monde politique, voire l’Administration. Une Administration aux mains de quelques écoles nationales bien connues qui fournissent l’essentiel des troupes de hauts fonctionnaires, de dirigeants d’entreprises publiques ou semi-publiques et d’élus. Des écoles avec pignon sur rue qui , sans démagogie, revendiquent la « Pensée Unique ».

Notre Administration fonctionne en effet sur la base dirigeante de ces « troupes d’élites » qui sont censées penser pour les autres en raison de leur « intelligence supérieure ». A l’école on leur apprend d’abord à être solidaires entre eux pour la vie afin de préserver le gâteau et leur gâteau personnel. Ensuite on leur apprend une certaine idée de la France qui voit l’Administration tirer l’Economie et la Société tout court. Il est entretenu chez eux cet « esprit supérieur » qui les incite à ne pas aller voir de près comment vit le petit peuple puisque celui-ci est de toutes façons suiveur. Cela fonctionne pour toutes les obédiences politiques. Celles-ci, comme le vocable l’indique, sont d’ailleurs des positionnements commerciaux.

Ainsi rares sont les individus sortis du rang populaire qui accèdent à des responsabilités supérieures dans les domaines réservés aux « troupes d’élites ». Parfois quelques individus sont acceptés parmi elles pour faire bien dans le décor, mais ils sont verrouillés.

Comment voulez-vous que notre pays sorte de la « Pensée Unique » avec une telle situation bloquée ?  Vive la France !


Anthony. Avocat. Paris.


TOUT VA BIEN : DORMEZ EN PAIX                               

COMMENTAIRES


Faut vraiment être journaleux pour écrire ça !

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Très beau texte.

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Ca me fait penser au gars qui a inventé le moteur à eau et qui s’est fait flinguer parce que ça génait du monde.

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Si un parti hors partis n’a pas encore été crée cela prouve que la politique est un jeu pour les Français.

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Un grand coup de pied là-dedans pour enfin voir un pays normal avec de l’avenir.

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Je suis certaine que cette partition cessera un jour. Pour une autre peut-être encore plus idiote.

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COMMENTAIRES


Je crois qu’on est arrivé à une situation de trop plein.

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Il va falloir faire quelque chose rapidement sinon…

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C’est le nœud de notre malheur.

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Vous le connaissez vous celui qui va foutre tout ça par terre ?

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Le pire c’est qu’ils ne se cachent même plus.

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LA FRANCE CE PETIT PAYS                                         

      La France est un petit pays ! Ce qui était encore une injure hier ne l’est plus aujourd’hui. Dans un monde mondialisé où les géants anciennement sous-développés sont devenus des puissances de premier plan notre pays fait figure de petit poucet. La France était le dernier état colonialiste à être demeuré en première ligne des soi-disants « grands de ce monde ». C’est bien fini et il va falloir l’accepter. Nous avons tous grandi dans le mythe tant à l’école que dans le quotidien des gardiens du monde politique. Combien de décisions ont été prises ou d’investissements inconsidérés ont été réalisés sur cette simple croyance que nous étions parmi les maîtres du monde. Je pense aux dépenses militaires, au Concorde, aux territoires d’Outre-Mer, au maintien d’un système social déficitaire,, aux instituts culturels à l’étranger, etc…

Il n’y a pas de déshonneur à ne plus faire partie des grandes puissances. Bien au contraire. Cela va permettre de rationaliser notre train de vie publique et de fédérer les citoyens autour de l’idée que l’on va enfin progresser. Encore faut-il que les responsables politiques acceptent cette réalité. Qu’il est doux, en effet, d’aller se promener dans le monde aux frais de la princesse pour donner des leçons aux anciens colonisés ou aux « petits ». Alors que le pays est dans le besoin et dans l’urgence.

C’est à l’Ecole qu’il appartient de revoir sa copie. Sans rien occulter de notre passé elle doit nous montrer notre vraie place dans notre époque. Pour cela il convient que l’Ecole ne soit plus le service de communication de l’Etat. Il lui faut devenir un lieu de débat et d’avenir.


François. Biologiste. Lyon.

COMMENTAIRES


Je pense que malheureusement il va falloir s’habituer à lire ce discours.

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Je suis étranger en France et je partage ceci.

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Faudra-t’il une intervention de la population (du peuple) pour changer cette école qui ne nous correspond pas.

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J’ai la même opinion : je m’en fous complètement que notre pays soit petit, ce qu’il faut c’est le sauver de la faillite.

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Personnellement je m’en suis toujours foutue de la grandeur de la France. C’est tellement ringard.

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Il faut être noble pour avoir envie de grandeur à notre époque.

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Ils nous font bien marrer avec leur prestige.

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