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SOCIETE
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VERS LA FIN DE L’INFO
Nous vivons une époque particulière qui voit cohabiter une Société en faillite et une Economie en pleine frénésie innovante. Je ne vous parlerai pas de la faillite, d’autres l’ont fait avant moi et bien. Je ne vous parlerai pas non plus de la frénésie économique parce que je n’y connais pas grand-
La presse écrite va très mal financièrement. Par rapport à il y a 20 ans elle a perdu à peu près la moitié de ses lecteurs. Elle a beau avoir créé une activité numérique complémentaire pour que le lecteur puisse trouver sur l’écran ce qu’il a sur le papier, cela ne suffit pas. Tout simplement parce que le pékin moyen n’a plus envie de passer 1 ou 2 heures à éplucher un canard de manière périodique. Cela vaut également pour la presse spécialisée qui retenait l’attention des passionnés. C’est fini : plus personne n’est passionné. Les anciens lecteurs vont chercher l’info ponctuellement dans les forums d’utilisateurs sur le net.
La presse TV n’est pas en reste. Les anciens ont souvent décroché parce qu’ils ne supportent plus les infos précipitées, stressantes et pipolisées. Les jeunes n’y sont pas parce qu’ils n’aiment pas être « convoqués » à une heure programmée pour prendre de l’info qui ne les intéresse pas. Il reste alors les « lucarniers du saucisson », ceux qui regardent le JT en mangeant parce qu’ils ont toujours fait comme ça. C’est ceux-
Aujourd’hui le support c’est le smartphone ou la tablette. Le journaliste c’est l’utilisateur. L’info c’est le ou les quelques trucs qui font « liker » ou « folllower ». Toute info ainsi diffusée est contestable dans sa déontologie et dans sa véracité parce qu’elle est là uniquement pour faire le « buzz ». Il y a tellement peu de choses importantes qui sont communiquées que les détenteurs de la Pensée Unique peuvent dormir tranquille. Cette nouvelle info est le lit idéal pour toutes les dictatures.
Allez : à vous de « liker » ou de « follower ».
Régis. Retraité de l’info. Quelque part à l’est.
NE PLUS REMBOURSER L’ADDICTION
Je ne fume pas, je ne bois pas mais je cause. Vous m’avez entendu un paquet d’années causer dans le poste. Je continue à causer mais avec les copains et comme aujourd’hui quand ce que j’ai à dire peut amener à réfléchir. Cette fois ce sont mes premiers mots sur lesquels je voudrais causer : je ne bois pas je ne fume pas, parce que je pense qu’il y a quelque chose à faire. Je propose de pénaliser financièrement l’addiction. La fume, la came, la bibine, la mal bouffe ces expédients qui rendent l’être humain dépendant et qui le dégradent.
J’ai toujours essayé d’être tolérant face à ces addictions et malgré les ravages que ceux-
En premier lieu je propose de légiférer pour qu’un proche du dépendant lié par des liens de famille ou de travail puisse rompre ces liens de famille ou de travail sur la foi de la dite dépendance. Il me paraît normal qu’un quidam dépendant ne fasse pas souffrir les autres. C’est le propre de la liberté et de la démocratie.
En second lieu je propose que la Société n’ait pas à financer l’addiction ou les conséquences de l’addiction. Je suggère donc que les addictions ne soient plus remboursées par la Sécurité Sociale. Que des mutuelles ou autres assurances privées prennent le relais ne me dérange pas mais halte aux contraintes financières pour la collectivité. Et c’est le médecin qui servira de pivot à cette nouvelle situation. Prenez par exemple les fins de vie des dépendants qui sont source de dépenses médicales et chirurgicales phénoménales que la Société n’a naturellement pas à prendre en charge.
Voici un sujet qui ne manquera pas d’être commenté parce qu’il est plein de bon sens.
Juju (emprunt). Retraité. Versailles.
Vous avez remarqué combien de fois par jour nous sommes harangués par les porteurs d’oracles négatifs. A la radio, dans les journaux, à la TV mais aussi dans la rue nous sommes en permanence agressés par ces pros du déclin qui sont payés pour nous assurer que tout va mal. Je ne parle pas ici de la politique mais de tout ce qui fait notre Société. Ce sont des pros de la sinistrose qui surfent sur notre moral atteint par l’état catastrophique de notre pays.
A la différence des pessimistes ils sont payés pour nous décrier un produit ou une activité qui va à l’encontre d’une entreprise, d’une organisation ou d’un lobby pour qui ils travaillent.
A toute époque de notre ère ce genre de choses s’est déjà produit. Mais je dois reconnaître que cette fois les esprits sont très atteints. Et quand vous regardez bien : les produits décriés ne sont jamais des n°1 mais des n°2 et suivants. Et les activités contestées, portées à suspicion, sont toujours susceptibles de venir enquiquiner une activité établie qui rapporte des ronds à certains. D’une manière générale ces produits et ces activités sont résolument nouveaux. C’est ce qu’on appelle parfois des innovations. Il arrive aussi malheureusement que des personnages politiques fassent partie de ces pros du déclin. Cherchez l’erreur.
La situation est telle aujourd’hui qu’il n’y a pas de contrepoids médiatique. Personne ni aucune entreprise ne se lance dans la contradiction de ces broyeurs. Parce que leur poids est énorme et parce que la contradiction n’est pas suffisamment lucrative pour subsister.
J’attends avec impatience que se crée un commando de Robin des Bois pour combattre la mystification. Ca viendra un jour.
Muriel. Commerçante. Nantes.
Et ils sont nombreux ces pros du déclin.
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Je ne comprends pas qu’autant de gens se laissent avoir.
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A la boïte c’est pareil les pros infectés nous bassinnent.
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Robin n’est né.
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Je ne crois pas dans le Robin.
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Le déclin est un business qui rapporte gros à certains et il n’est pas de l’intérêt de l’Etat de faire cesser.
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Quand on regarde bien ces salauds font un mal considérable. Ils devraient être poursuivis pénalement.
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A 2 reprises sur le réseau j’ai lu que les citoyens allaient avoir beaucoup de soucis avec leur vue et avec leur ouïe. A cause des écrans de toutes sortes et des téléphones portables. Eh bien moi je peux vous dire qu’on y est déjà. En 25 ans de gestion des dossiers de remboursement clients dans une Mutuelle de santé je n’ai jamais vu autant de demandes concernant l’œil et l’oreille. Ce qui est grave, à mon sens, c’est l’explosion des demandes de prises en charge pour des ados ou des jeunes âgés de moins de 30 ans. Preuve que le mal est là et qu’il ronge.
Pour être précise je dirai que les soins demandés ou prodigués concernent des réductions de capacités, pas ou peu pour des problèmes plus graves type cancer. Mais par expérience je suis certaine que cela ne tardera pas à se présenter en quantité plus importante. La relation physique avec les engins dont je parlais plus haut ne figure pas ou peu sur les rapports médicaux mais il n’y a pas de coïncidence plus évidente. On n’en est qu’aux débuts.
Ce qui me dérange c’est le block-
Il faut comprendre que la situation est plus qu’alarmante. En terme de prévention, à défaut de prévention officielle, je peux dire que chaque individu n’est pas égal sur ce sujet et qu’il y en a certains qui n’ont pas faculté à lire des écrans ou à utiliser un téléphone portable du fait de leur faiblesse oculaire ou auditive. En terme de soins je suis sûre que l’on va vers une montagne financière sans fin. Sur ces 2 points à nouveau le block-
Janine. Technicienne de santé. Paris.
ALARME FATALE POUR LA VUE ET L’OUIE